Comment réduire ses impôts en 2025 ?

Face à une fiscalité toujours plus complexe, réduire ses impôts en 2025 nécessite une démarche réfléchie et adaptée à votre situation personnelle. Il ne s’agit pas d’appliquer une méthode universelle, mais bien de combiner des stratégies efficaces, qu’elles soient curatives ou préventives.
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Que ce soit en exploitant des dispositifs fiscaux pour alléger votre imposition immédiate, ou en optimisant vos choix patrimoniaux pour limiter l’imposition future de vos revenus, il existe de nombreux leviers actionnables. Cet article vous guidera à travers les solutions les plus pertinentes pour maximiser vos économies d’impôt tout en atteignant vos objectifs financiers.
Quels sont les leviers actionnables pour réduire ses impôts ?
Réduire ses impôts est une démarche qui repose sur deux stratégies complémentaires : agir en aval pour diminuer son imposition globale ou agir en amont pour limiter l’imposition de ses revenus futurs. Ces approches permettent de répondre aux besoins de différents profils fiscaux et objectifs financiers.
- Réduction de l’imposition globale en aval : Cette méthode consiste à tirer parti des dispositifs fiscaux existants une fois les revenus générés. Cela inclut des solutions comme les réductions d’impôt, les crédits d’impôt ou encore les déductions fiscales. Ces mécanismes permettent de diminuer directement le montant à payer ou d’alléger le revenu imposable déclaré.
- Limitation de l’imposition des revenus en amont : Cette approche stratégique vise à réduire les revenus imposables ou à privilégier des régimes fiscaux dérogatoires. Par exemple, certains placements permettent de ne pas intégrer les revenus futurs dans les tranches marginales d’imposition (TMI), évitant ainsi une majoration liée au caractère progressif de l’impôt sur le revenu.
En combinant ces deux méthodes, il est possible d’optimiser sa situation fiscale tout en alignant ses décisions financières sur ses projets à long terme.
Les réductions, crédits d’impôt et déductions fiscales : quelles différences ?
Pour réduire votre imposition, il existe trois principaux mécanismes fiscaux, chacun avec ses spécificités et ses avantages.
Les déductions fiscales
Les déductions sont des montants que l’on soustrait du revenu imposable avant le calcul de l’impôt. Elles sont particulièrement avantageuses pour les contribuables situés dans les tranches élevées de l’imposition, où le taux marginal est important.
Par exemple, le Plan d’Épargne Retraite (PER) permet de déduire les versements effectués, dans la limite de 10 % des revenus professionnels. Si vous êtes imposé à 40 % et versez 10 000 euros sur un PER, vous pouvez économiser 4 000 euros sur votre impôt.
Conseil de Goodvest : Relativement similaire dans leur fonctionnement, les abattements permettent aussi de réduire la part imposable d’un revenu de manière forfaitaire.
Les réductions d’impôt
Contrairement aux déductions, les réductions diminuent directement le montant de l’impôt à payer. Elles sont fréquemment liées à des dépenses éligibles, comme les dons à des associations, les frais de scolarité des enfants, ou encore certains investissements immobiliers (exemple : dispositifs Denormandie ou Malraux).
Les crédits d’impôt
Fonctionnant comme les réductions, les crédits présentent une particularité notable : ils sont remboursables. Si le montant du crédit excède l’impôt dû, la différence vous sera restituée par l’administration fiscale. Parmi les crédits d’impôt les plus courants, on trouve les frais engagés pour l’emploi d’un salarié à domicile.
Attention : Les réductions et crédits d’impôt sont le plus souvent soumis au plafonnement global des niches fiscales, fixé à 10 000 euros par an. Cela signifie que le cumul de ces avantages ne peut dépasser ce montant, limitant ainsi les possibilités d’optimisation fiscale.
L’optimisation des revenus
Une autre stratégie pour réduire votre impôt consiste à optimiser vos revenus imposables en prenant des décisions éclairées sur leur structuration. Cette démarche vise à éviter la saturation des tranches marginales de l’imposition (TMI), où le taux d’imposition augmente au fur et à mesure que le revenu imposable croît. En anticipant, vous pouvez extraire une partie de vos revenus de ces tranches élevées, améliorant ainsi votre situation fiscale globale.
Cette approche repose sur deux axes principaux.
Limiter les revenus imposables
Pour réduire l’impact de l’impôt progressif, il peut être judicieux de limiter ses revenus imposables. Par exemple :
- Ne pas se verser un salaire trop élevé : Les chefs d’entreprise peuvent modérer leur rémunération pour éviter de franchir une tranche marginale élevée.
- Privilégier certaines formes de rémunération : Les dividendes, soumis à un prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30 %, peuvent être fiscalement plus avantageux que des salaires soumis à l’impôt progressif. De même, certaines rémunérations permettent de bénéficier d’abattement (c’est par exemple le cas du régime de la micro entreprise).
Profiter des régimes fiscaux dérogatoires
Certains revenus bénéficient de régimes spécifiques, permettant une imposition réduite ou différée :
- Le prélèvement forfaitaire unique (PFU) pour les revenus financiers : Il permet d’imposer certains revenus à un taux fixe de 30 % (en plus des prélèvements sociaux), souvent plus favorable que les tranches marginales.
- L’assurance-vie : Ce placement offre une fiscalité attractive après huit ans, avec une exonération partielle des gains sous certaines conditions.
Exemple : l’assurance vie
L’assurance vie est un outil phare pour optimiser ses revenus financiers :
- Les gains ne sont pas imposables en l’absence de retrait permettant leur capitalisation hors fiscalité.
- Après huit ans, vous bénéficiez d’un abattement annuel sur les gains issus des retraits (4 600 € pour une personne seule, 9 200 € pour un couple).
- Les gains retirés sont imposés à un taux forfaitaire réduit de 24,7 %.
Les différentes solutions pour réduire ses impôts en 2025
Réduire ses impôts peut se faire par le biais de divers dispositifs fiscaux qui offrent des déductions, des réductions, ou des crédits d’impôt. Ces mécanismes permettent d’alléger le montant à payer ou d’ajuster le revenu imposable. Voici un aperçu des principales solutions disponibles.
Le PER pour investir pour sa retraite en déduisant ses versements
Le Plan d’Épargne Retraite (PER) est une solution idéale pour préparer sa retraite tout en bénéficiant d’avantages fiscaux immédiats.
- Fonctionnement : Vous effectuez des versements sur votre PER, qui sont ensuite investis sur des supports financiers. Au moment de la retraite, vous pouvez choisir entre une rente, un capital ou une combinaison des deux.
- Régime fiscal : Les versements sont déductibles du revenu imposable dans la limite de 10 % des revenus professionnels (ou 4 114 € minimum). Cela permet de diminuer votre imposition pour l’année où le versement a été effectué. Par exemple, si vous versez 5 000 € et êtes imposé à 30 %, vous économisez 1 500 € d’impôt.
Conseil Goodvest : Planifiez vos versements en fonction de vos revenus annuels pour maximiser la déduction fiscale.
Les dispositifs de défiscalisation immobilière
Investir dans l’immobilier est une solution souvent envisagée pour réduire ses impôts grâce à plusieurs dispositifs spécifiques :
- Dispositif Pinel (supprimé en 2025) : Réduction d’impôt jusqu’à 21 % du montant investi sur 12 ans, en échange d’une location à des loyers plafonnés dans des zones tendues.
- Dispositif Denormandie : Réduction similaire au Pinel pour des biens anciens rénovés, avec obligation de louer à un loyer plafonné.
- Déficit foncier : Permet de déduire les travaux de rénovation des revenus fonciers ou du revenu global, dans la limite de 10 700 € par an.
- Dispositif Malraux : Réduction d’impôt allant jusqu’à 30 % pour la rénovation de biens situés dans des secteurs protégés.
- Dispositif Girardin : Réduction d’impôt allant jusqu’à 40 909 € en finançant du matériel industriel en Outre-mer via le dispositif Girardin.
- Démembrement de la nue-propriété : Optimisation patrimoniale grâce au démembrement de propriété : acquisition en nue-propriété avec une décote jusqu’à 40 %, sans fiscalité ni gestion locative pendant toute la durée du démembrement.
Précaution : Bien que ces dispositifs soient attrayants fiscalement, ils incluent des contraintes qui peuvent réduire leur rentabilité. Par exemple, le Denormandie exige un loyer modéré qui peut limiter vos gains. Par ailleurs, l’immobilier est souvent lourdement fiscalisé, sauf à adopter des régimes spécifiques comme le LMNP (Loueur Meublé Non Professionnel).
Les dons aux associations
Faire un don à une association ou une fondation éligible vous permet de bénéficier d’une réduction d’impôt de 66 % du montant du don pour les organismes d’intérêt général (75 % pour les associations d’aide aux personnes en difficulté, jusqu’à 1 000 € de dons).
Remarque : Même si l’État prend en charge une partie, le don reste à votre charge. Cela reste avant tout un acte de générosité.
L’optimisation de la situation familiale et patrimoniale
Votre situation familiale et patrimoniale peut avoir un impact significatif sur votre impôt :
- Le quotient familial : Plus il y a de parts fiscales (enfants, conjoint), plus le montant imposable est réduit.
- Le PACS : S’unir via un PACS permet de mutualiser les revenus et souvent de réduire l’imposition.
- Frais de garde d’enfants à l'extérieur du domicile : Donnent droit à un crédit d’impôt de 50 %, dans la limite de 1 750 € par enfant de moins de 6 ans.
L’emploi d’un salarié à domicile
Faire appel à un salarié à domicile (femme de ménage, jardinier, aide aux devoirs, garde d’enfant, etc.) donne droit à un crédit d’impôt :
- Montant du crédit : 50 % des sommes engagées, dans une limite annuelle de 12 000 €, augmentée en fonction de la composition du foyer.
- Exemple : Si vous dépensez 1 000 € pour une femme de ménage, vous bénéficiez d’un crédit d’impôt de 500 €.
L’investissement dans des start-up et PME
Investir dans des start-up et des PME (Petites et Moyennes Entreprises) est une stratégie attrayante pour réduire ses impôts tout en soutenant l'économie réelle.
La réduction d’impôt IR-PME (loi Madelin)
En investissant dans une PME éligible, vous bénéficiez d’une réduction d’impôt sur le revenu équivalente à 18 % des sommes investies. Ce taux a été porté à 25 % temporairement pour certains investissements, sous réserve de validation européenne.
L’avantage fiscal est néanmoins plafonné :
- 50 000 € d’investissement pour une personne seule, soit une réduction maximale de 9 000 € (ou 12 500 € si le taux est de 25 %).
- 100 000 € pour un couple marié ou pacsé, soit jusqu’à 18 000 € (ou 25 000 €).
L’investissement doit être maintenu pendant 5 ans minimum, et la société doit répondre à des critères précis (PME non cotée, créée depuis moins de 7 ans, etc.).
Les FCPI et FIP
Les Fonds Communs de Placement dans l’Innovation (FCPI) et les Fonds d’Investissement de Proximité (FIP) permettent également de réduire vos impôts :
- Réduction d’impôt : Jusqu’à 25 % des sommes investies dans la limite de 12 000 € (24 000 € pour un couple), soit une réduction maximale de 3 000 € (ou 6 000 € pour un couple).
- Objectif : Soutenir des entreprises innovantes ou locales.
- Avantage complémentaire : Les plus-values réalisées sont exonérées d’impôt, mais restent soumises aux prélèvements sociaux.
Les précautions à prendre avant d’investir dans une PME
Investir dans des start-up et PME comporte des risques, notamment la possibilité de perdre le capital investi. Pour limiter ces risques :
- Diversifiez vos investissements sur plusieurs entreprises ou fonds.
- Renseignez-vous sur la solidité et le potentiel des projets soutenus.
Conseil de Goodvest : Il est aussi possible d’investir dans des start-up avec un PEA PME pour profiter de l'exonération d’impôt sur les gains à partir de la 5e année. Les avantages de l’IR PME et du PEA PME ne sont pas cumulables. Il faudra donc faire un choix.
Les différentes solutions pour limiter son imposition en 2025
Limiter son imposition repose sur une approche préventive qui consiste à anticiper les effets de la fiscalité sur les revenus futurs. Contrairement aux dispositifs qui réduisent l’impôt de manière curative, cette stratégie implique une réflexion sur le long terme, combinant optimisation patrimoniale et choix judicieux d’investissements.
En identifiant les bons arbitrages dès le départ, vous pouvez adapter vos décisions financières pour minimiser l’impact fiscal tout en atteignant vos objectifs.
Lire aussi : Bilan patrimonial : Comment et pourquoi le faire ?
Investir son épargne avec les enveloppes fiscales
Les enveloppes fiscales sont des dispositifs permettant de réduire l’imposition sur les gains générés par votre épargne. Voici un tour d’horizon des options disponibles :
- Assurance-vie : Après huit ans, les gains bénéficient d’un abattement annuel (4 600 € pour une personne seule, 9 200 € pour un couple). C’est par ailleurs l’une des enveloppes les plus souples et avantageuses pour transmettre un capital avec une fiscalité allégée.
- Plan d’Épargne en Actions (PEA) : Après cinq ans, les gains réalisés sont exonérés d’impôt, mais soumis aux prélèvements sociaux. Ce dispositif est idéal pour investir dans des actions tout en réduisant la fiscalité.
- Plan Épargne Entreprise (PEE) : Mis en place par l’employeur, le PEE permet d’investir une partie de votre épargne salariale (issue des primes de participation et d'intéressement) dans des placements variés (fonds, actions de l’entreprise, etc.) avec une exonération d’impôt sur les revenus générés après cinq ans. Les abondements éventuels de l’entreprise et primes placés dans un PEE sont également exonérés d’impôt et ne sont pas soumises à cotisations sociales (sauf CSG-CRDS de 9,70 %).
- Livret A et Livret de Développement Durable et Solidaire (LDDS) : Les intérêts sont totalement exonérés d’impôt et de prélèvements sociaux.
En diversifiant vos investissements à travers ces enveloppes, vous optimisez votre patrimoine tout en minimisant l’impact fiscal.
Profiter des bons abattements fiscaux
Selon la nature des revenus générés, différents abattements fiscaux peuvent s’appliquer pour réduire la base imposable. Voici quelques exemples :
- Revenus locatifs : Si vous optez pour le régime micro-foncier, un abattement forfaitaire de 30 % est appliqué sur vos revenus locatifs (hors charges). Pour la location meublée longue durée, vous pouvez aussi opter pour le régime micro BIC proposant un abattement de 50 %.
- Plus-values immobilières : Vous êtes exonéré d’impôt sur la plus-value après 22 ans de détention, et totalement exonéré (prélèvements sociaux inclus) après 30 ans. La plus-value d’une résidence principale est totalement exonérée.
Ces abattements, bien utilisés, permettent de réduire significativement votre imposition tout en maximisant vos revenus nets.
Transformer ses revenus immobiliers en revenu financier
Les revenus fonciers issus d’un investissement immobilier sont soumis à une fiscalité relativement lourde. Ils entrent directement dans les tranches marginales de l’impôt sur le revenu et s’ajoutent aux prélèvements sociaux (17,2 %), ce qui peut considérablement réduire leur rendement net. Cependant, il est possible d’optimiser cette situation en transformant ces revenus immobiliers en revenus financiers via des véhicules spécifiques.
Les fonds immobiliers cotés (SIIC)
Les Sociétés d’Investissements Immobiliers Cotées (SIIC) permettent d’investir dans l’immobilier tout en bénéficiant d’une fiscalité simplifiée :
- Les revenus perçus (dividendes) sont imposés à la flat tax de 30 %, au lieu d’être intégrés dans votre revenu imposable.
- Les SIIC offrent une exposition à des actifs immobiliers variés (bureaux, commerces, logements) tout en conservant une bonne liquidité.
Investir via une SCPI dans une assurance vie
Les Sociétés Civiles de Placement Immobilier (SCPI) permettent de mutualiser les investissements immobiliers. Lorsqu’elles sont détenues via une assurance vie :
- Les revenus générés par la SCPI bénéficient de la fiscalité avantageuse de l’assurance vie après huit ans (abattement annuel sur les gains, puis imposition réduite ou exonérée selon le cas).
- Cela permet de conserver les avantages de l’immobilier tout en allégeant considérablement l’impact fiscal.
Lire aussi : SCI et assurance-vie : la combinaison gagnante ?
La création d’une holding patrimoniale ou immobilière
Créer une holding est une solution avancée de gestion patrimoniale réservée principalement aux chefs d’entreprise ou aux investisseurs importants, mais pas que. Elle offre une flexibilité fiscale et patrimoniale pour maximiser les rendements tout en réduisant l’imposition.
Holding patrimoniale pour entrepreneurs
Pour les chefs d’entreprise, transférer leurs parts ou actions dans une holding permet de bénéficier d’avantages fiscaux intéressants :
- Remonter les dividendes sans fiscalité immédiate : Les dividendes perçus par la holding ne sont pas soumis à l’impôt sur le revenu. Ces fonds peuvent ensuite être réinvestis dans des projets ou placements à la convenance de l’entrepreneur.
- Optimisation de la transmission : Une holding permet d’organiser efficacement la transmission du patrimoine professionnel ou personnel.
Lire aussi : Le régime mère-fille : Tout savoir sur ce régime d'optimisation fiscale
Holding immobilière (sociétés à l’IS)
Pour les investisseurs immobiliers, passer par une société soumise à l’impôt sur les sociétés (IS) peut être une alternative intéressante :
- Fiscalité forfaitaire des recettes locatives : Les revenus immobiliers sont imposés au taux d’IS (15 % ou 25 % selon les montants), bien plus attractif que les tranches marginales élevées de l’impôt sur le revenu.
- Dividendes imposés à la flat tax : Lorsque les bénéfices sont distribués, ils bénéficient d’un taux forfaitaire de 30 %, combinant IS et flat tax.
Toutefois, cette solution n’est pas miraculeuse pour autant :
- Double imposition : Bien que la holding optimise l’impôt par tranche, les bénéfices sont d’abord soumis à l’IS, puis les dividendes à la flat tax. Cependant, cette solution reste avantageuse pour les contribuables dans des tranches d’imposition élevées (30 % et plus).
- Incompatibilité avec les dispositifs défiscalisants : Les régimes comme le Denormandie ou le déficit foncier ne s’appliquent pas aux sociétés soumises à l’IS.
Lire aussi : Quels sont les atouts de la société civile patrimoniale ?
Faire le point avec un spécialiste pour réduire ses impôts en 2025
Chaque situation patrimoniale est unique, et il n’existe pas de méthode universelle pour réduire ses impôts. Une stratégie fiscale efficace doit tenir compte de votre situation personnelle : niveau de revenus, composition familiale, objectifs financiers, et actifs détenus.
Faire appel à un expert permet de bénéficier d’un diagnostic précis et d’une stratégie sur-mesure. Un spécialiste analysera votre situation globale pour :
- Identifier les dispositifs fiscaux les plus adaptés à vos besoins.
- Vous guider sur les meilleures décisions patrimoniales et financières.
- Éviter les erreurs ou oublis qui pourraient augmenter votre imposition.
Selon les situations et les problématiques, vous pouvez consulter un avocat fiscaliste, un expert comptable, un notaire ou un conseiller en investissement financier.
Chez Goodvest, nous disposons de l'accréditation CIF (Conseiller en investissement financier) pour vous délivrer tous les conseils utiles pour faire les bons choix d’investissement au regard de votre situation personnelle !
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